
Les stars du cinéma italien s'exposent au Louxor
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2017 semble être l’année de la consécration pour l’actrice française Isabelle Huppert : une nomination aux Oscars, un Golden Globes, un César… Cette dernière victoire amplement méritée, couronne une carrière de plus de 100 longs-métrages, dont une grande majorité pour des réalisateurs de renom.
Paris Fait Son Cinéma vous propose une liste (loin d’être exhaustive) de 10 rôles majeurs de l’actrice, des films à voir et à revoir encore.
Le film sensible de Claude Sautet, s’il porte aux nues le triptyque amoureux composé d’Yves Montand, Romy Schneider et Sami Frey, signe la deuxième apparition au cinéma d’une toute jeune Isabelle Huppert dans le rôle de Marité.
Lors d’une scène brève, mais remarquée, Isabelle Huppert s’ajoute au turbulent mythique trio formé par Gérard Depardieu, Patrick Dewaere et Miou-Miou pour une scène d’amour pluriel en pleine campagne.
Le film signe la première des sept collaborations avec le réalisateur Claude Chabrol, cinéaste de la subtilité et de l’obscurité de l’âme humaine. Dans le rôle de cette empoisonneuse parricide, Isabelle Huppert dévoile un jeu aussi intense que convaincant.
Un film en quatre mouvements de vie, comme une partition parfaitement interprétée par ses trois personnages incarnés par Nathalie Baye, Jacques Dutronc et la jeune Isabelle Huppert, 26 ans à peine.
Dans le bouleversant film de Pialat, Isabelle Huppert propose, comme à son habitude, un jeu plein de subtilité et de ce vrai/faux naturel qui lui est propre. La relation que son personnage, Nelly, entretient avec Loulou, le beau voyou au grand cœur campé génialement par notre Depardieu national, est à pleurer de beauté et de candeur. A retenir également, les passages tragi-comiques où Huppert refoule gentiment et très drôlement son ancien amant (Guy Marchand, parfait en amoureux éconduit pathétique).
Dans cette œuvre cynique et drôle, l’immense Philippe Noiret prend les traits d’un policier victime de perpétuelles moqueries. Ses seuls moments de bonheur, il les prend dans les bras de la candide Rose, parfaitement interprétée par Isabelle Huppert.
Chef-d’œuvre de Chabrol, La Cérémonie est inspiré du célèbre fait divers des sœurs Papin. Partageant l’affiche avec une toute aussi brillante Sandrine Bonnaire, Isabelle Huppert apparaît sous les traits d’une factrice marginale et exubérante qu’elle interprète à la perfection. Le rôle lui vaudra le César de la meilleure actrice la même année.
Certainement l’un des rôles les plus sombres de l’actrice. Professeur de piano rigide, Erika Kohut dissimule un masochisme incontrôlé. Un film également marqué par la remarquable prestation d’Annie Girardot en mère castratrice.
Aux côtés d’une distribution féminine prestigieuse (Danielle Darrieux, Catherine Deneuve, Emmanuelle Béart, Fanny Ardant, Virginie Ledoyen, Ludivine Sagnier et Firmine Richard), Isabelle Huppert incarne pour François Ozon le personnage d’Augustine, vieille fille revêche dont la médisance finit par attirer notre sympathie.
Rôle qui lui valut le César de la meilleure actrice cette année. Isabelle Huppert y incarne la froide Michèle. Victime de viol, la quinquagénaire carriériste et sévère va traquer son agresseur, quitte à basculer dans un jeu pervers.
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